Les points suivants résument quelques conclusions des plus importantes obtenues grâce au travail d’investigation réalisé durant l’année 2012.

Conclusions obtenues comme résultats non seulement de l’analyse et de l’interprétation des études et des rapports, sinon de plusieurs rencontres et réunions de travaux maintenues avec différentes entités et organismes compétents dans cette matière avec le but de que ces conclusions soient utiles pour le secteur et alignées avec les objectifs du Plan Halieutis. .

• Un long littoral avec des caractéristiques physiques, environnementales et biologiques aptes pour la culture d’espèces aquacoles, spécialement pour les poissons, mollusques et algues.

• Il existe un fort soutien institutionnel pour le développement de cette activité, comme en témoigne le récent lancement du plan Halieutis et la création de l’Agence l’ANDA de la part du gouvernement marocain.

• Une tradition de pêche enracinée du pays, formée par une base sociale très large et une culture de mer qui favorise l’implantation de l’activité aquacole.

• L’existence de Centres spécialisés dans l’investigation appliquée des ressources marines comme l’Institut National d’Investigations Halieutiques (INRH).

• Bon niveau de formation universitaire en spécialités proches à l’activité aquacole (biologistes, vétérinaires, ingénieurs halieutiques) et en général aussi en degrés de formation professionnelle (marins, plongeurs, etc.).

• Un marché interne émergeant pour la consommation des produits de mer, ce qui démontre le fort potentiel de ce marché.

• L’existence d’accords commerciaux préférentiels avec d’autres pays dont les marchés ont un grand poids dans le global de l’économie, comme ceux de l’Union Européenne ou les Etats Unis.